Henri n’a pas eu d’enfant. En 1908 il écrit : “… je commence par comprendre pourquoi j’ai horreur des enfants, moi qui n’ait pu les juger que par ces neveux ou nièces plus assommants les uns que les autres…”.
Il a eu 3 sœurs et un frère et à ma connaissance 2 neveux et une nièce.
Lucie : née en 1854 à Paris, mariée à Emile Auguste ROGER. Elle aura un fils Robert qui accompagnera quelque fois Henri, son oncle, à vélo. Robert décède à 31 ans à Vallauris. Lucie habite la maison familiale à Charenton où Henri s’arrête quelquefois à l’occasion d’une balade. Pas de descendance trouvée.
Blanche : née en 1855 à Paris, mariée à Adolphe Carolus LEMAITRE. Elle aura une fille Jeanne avec qui Henri entretiendra une correspondance (voir 1892). Elle réside à Paris.
Berthe : née en 1857 à Paris, mariée à Louis Antoine Auguste LABBE. Elle aura un fils Max Lucien Georges qui épousera sa cousine Jeanne, veuve, en 2ème noce. Pas de descendance trouvée.
Georges : né en 1858 à Paris, marié à Berthe Bruchon puis à Louise X. Georges n’aurait pas eu d’enfant. Réside à Houilles. Henri y rend souvent visite à son frère.
Les parents Alexandre ANDRE et Maria CHAPELLAT se sont marié en 1853 probablement à Paris où ils résident. A la naissance d’Henri ils habitent à Charenton. Quand Henri commence l’écriture de ses carnets, il réside chez ses parents au 156 rue Saint-Antoine (aujourd’hui 73 de la même rue – remaniée au début du XXème siècle) à Paris (près de la Bastille).
L’oncle Charles. Décès à Paris en août 1898 (voir carnet).
La tante X? : Les balades dans l’ouest de Paris sont l’occasion de s’arrêter à Versailles chez sa Tante (voir 1889, 1893, 1896 et 1899). Dans mes recherches je n’ai pas trouvé trace de cette fameuse “Tante”. Si l’expression “chez ma tante” définit plutôt le mont de piété, c’est peut-être ici un moyen discret de désigner un lieu peu avouable.
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